On laisse toujours une trace,
Sur le sable avant de partir,
Sur un enfant qui prend place,
Avant que l’on soit endormit.
Ici, là une odeur agréable,
Un souvenir qui s’apaise,
La douleur lointaine à peine palpable,
Un bonheur qui ne cesse.
Un détaille de couleur s’efface,
Mais il reste cette marque dans la mémoire,
Voila, il y a toujours une trace,
Même dans un quelconque miroir.
Le souvenir d’avoir aimer,
Ne s’envole jamais,
Il s’oubli lorsque la flamme s’affaiblit,
Mais ne s’efface pas du cœur qui soupire.
Moi à mon tour je laisserais des souvenirs,
Vous à votre tour vous laisserez cette trace,
Juste une trace et le temps passe,
Et là on a le droit de partir.
Sur le sable avant de partir,
Sur un enfant qui prend place,
Avant que l’on soit endormit.
Ici, là une odeur agréable,
Un souvenir qui s’apaise,
La douleur lointaine à peine palpable,
Un bonheur qui ne cesse.
Un détaille de couleur s’efface,
Mais il reste cette marque dans la mémoire,
Voila, il y a toujours une trace,
Même dans un quelconque miroir.
Le souvenir d’avoir aimer,
Ne s’envole jamais,
Il s’oubli lorsque la flamme s’affaiblit,
Mais ne s’efface pas du cœur qui soupire.
Moi à mon tour je laisserais des souvenirs,
Vous à votre tour vous laisserez cette trace,
Juste une trace et le temps passe,
Et là on a le droit de partir.